
Essai sur les femmes
Arthur Schopenhauer» Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’lles restent elles-mêmes puérilses, futils et boernées; elles demeurent toute leur vie de grandes enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. «